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| Christophe Charbonnel / sculpture |
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Christophe Charbonnel pratique le modelage depuis 15 ans. En 2002, il prend le pari de vivre de sa sculpture et quitte son emploi de dessinateur dans les studios de dessins animés de Walt Disney à Montreuil, pour s’installer avec sa famille dans les Yvelines. Là il se consacre à plein temps à sa création. Rapidement, il prend conscience qu’il appartient à une lignée de sculpteurs dont la technique, apprise en 1995 à l’école Duperré dans l’atelier de Philippe SEENE, consiste à travailler par les profils. Il découvre alors à son tour le plaisir d’enseigner et de transmettre son savoir-faire.
Christophe Charbonnel a participé à de nombreuses expositions collectives en France et aux Etats-Unis et a reçut plusieurs prix de sculpture. Il expose en permanence dans le studio du décorateur d’intérieur Philippe PARENT (45, rue de Bourgogne à Paris), à la galerie Xavier NICOLAS (16, rue de Lille à Paris), à la galerie ART CADRE (24, rue Dauphine à Paris) et chez TOM (22, rue de la Citadelle à Saint Tropez).
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| Maria Cosatto / artiste |
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Agnes Colombier / sculpture
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L'atelier d'Agnès Colombier* / Pom Patell / est accroché dans les arbres vraiment pas très loin de Paris.
Un monde peuplé d'insectes, de taches de couleur, de piles et de piles
de livres dans un équilibre précaire, de papiers écrits, griffonnés, déchirés, collés et décollés, d'autres taches de couleurs souvent rondes et très vives déposées sur des plaques en tôle, en verre, des petites, de la toile, un corps nu fait d'un trait noir très épais sur une plaque de bois coincée entre le sol et le plafond.
* Agnès Colombier, diplômée de l'Ecole Supérieure d'Arts Graphiques
de Paris a été aussi illustratrice en presse magazine et en édition ;
co-fondatrice de l'agence de design graphic "Zéro 2"
spécialisée dans la communication culturelle : musées, festivals, théâtres.
http://www.zero2.fr/
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| Jean-philippe Costes Muscat /Danseur |
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Il danse pour Gigi Caciuleanu et le Groupe Emile Dubois, pour Jean-Claude Gallotta. Il continue ensuite son parcours sur Paris avec Lorraine Gomez, Myriam Dooge, Luc Petton, Rachel Mateis…
Il collabore avec le metteur en scène Vincent Goethals « Théâtre En Scène », sur plusieurs pièces et opéras dont Le chemin des passes dangereuses de Michel Marc Bouchard, Les mains d’Edwige au moment de la naissance de Wajdi Mouawad, Cendres de cailloux de Daniel Danis...
Depuis 2007, il performe avec l’ensemble de Sound Painting « Anitya » et le collectif d’improvisation « Emma Jupe ».
En septembre 2008, il commence une collaboration avec le metteur en scène et vidéaste Eric Angels pour le projet Ex’il et elle ainsi qu’une collaboration avec Ludovic Fouquet et la « Cie Songes Mécaniques» sur le projet Anastasia. Avec Jean-Christophe Bleton et la « Cie Les Orpailleurs », il danse dans les pièces chorégraphiques Quelques instants, Sicefou et Oh.
Depuis juin 2009, il porte différents projets de création avec Delphine Bachacou, dans le cadre des Ouvreurs de Possibles.
La poétique de sa danse ainsi que son enseignement sont imprégnés des pratiques martiales (Karaté-do, Tai Chi Chuan, Hsing I Chuan), du contact improvisation avec Steve Paxton, Simone Forti et Liza Nelson, Olivier Besson et de la technique F. Mathias Alexander à laquelle il se forme entre 2006 et 2008 avec Gilles Estran et dont il est aujourd’hui professeur certifié.
Que la danse reste
Un langage vivant et relié, humain et charnel, vibrant et ouvert.
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| Shiro Daimon /Danseur |
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Shiro Daïmon
Biographie
Shiro Daïmon est né à Némuro dans l'île de Hokkaidoh au Japon. A partir de 1951 il apprend la Danse Kabuki. De 1954 à 1962, la musique traditionnelle japonaise. Il est diplômé de l'Ecole de Danse Kabuki Hanayagi en 1963 et entre à la Hanayagi Tokubei Compagny. Entre 1964 et 1973 il effectue avec celle-ci des tournées au Japon. A partir de 1968 il travaille le Théâtre Nô avec Kanzé Shizuo. Il entre à l'université de Hohsei. Entre 1968 et 1975 il étudie le Théâtre du Noh Kannami et Zeami, dans les séminaires dirigés par le professeur M. Omote. A partir de 1969 il présente sa première création, Rite Daïmon Shiro à Tokyo. De 1969 à 1975 il donne à Tokyo une série de représentation en solo ou accompagné d'une troupe. En 1976 il part à Paris, rencontre Steve Lacy et fait une création au Théâtre Le Palace, Fête de Daïmon avec S. Lacy, M. Ali, T. Tsuchitori. Depuis il fait de nombreuses créations en Europe et au Japon.
Depuis 1993, il organise chaque année cinq semaines de stages et de rencontres « 3R - Rencontrer, Rechercher, Réaliser » à la découverte des arts gestuels France-Japon.
Ces Rencontres annuelles s'achèvent par la présentation de spectacles et de travaux de création auxquels participent de nombreux professeurs du mime, de la danse classique ou contemporaine, du théâtre ainsi que des professionnels tels que : Christine Bastin, Carlo Boso, Agnès Dufour, Dominique Dupuy, Jean Guizerix, Claire Heggen, Marcel Marceau, Wilfried Piollet, Ferrucio Soleri..., ainsi que des grands maîtres du Théâtre Kabuki et Nô. Cette manifestation se déroule à Paris, au Buisson de Cadouin en Dordogne et à Oguni au Japon. Shiro Daïmon se définit comme danseur. En fait sa technique minutieuse, complète, le situe à la fois comme un danseur, un acteur, un musicien. Disciple des grands maîtres du Nô (Kanzé Tetsunojô 8ème) et de la danse du Kabuki (Hanayagi), il maîtrise à la perfection les rôles de femmes, pierre de touche des acteurs et danseurs du théâtre traditionnel japonais.
Pour trouver le "feu fou" de sa propre danse, il n'y a plus ni règle, ni modèle... Il faut oser "brûler son âme" et plonger dans l'inconnu, dans ce qui nous est complètement personnel et qui se construit et se déconstruit en permanence. Shiro Daimon
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Jacques Di Donato /clarinette |
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Jacques Di Donato a joué tous les rôles en musique.
Sa curiosité le conduit, après des études institutionnelles qui trouvent leurs consécration au CNSMD de Paris, à embrasser tous les genres musicaux.
Le bal tout d’abord ( à la batterie ) dans l’orchestre familial, le studio, le show-biz où il rencontre les grandes personnalités de la chanson
Tour à tour, soliste au Nouvel Orchestre Philharmonique de Radio France, musicien de Chambre, soliste international, pédagogue renommé, professeur au CNSMD de Lyon, clarinettiste, saxophoniste mais aussi batteur, c’est un rebelle qui ne manque pas de causes, un perfectionniste attentif qui ne déteste rien de plus que l’ennui, la répétition et l’enfermement.
Il participe à de nombreuses créations et vit des rencontres palpitantes avec les compositeurs les plus marquants de notre époque : K.Stokhausen, P.Boulez, G.Amy, O.Messiaen, J.Cage, L.Berio, V.Globokar, L.Nono et enfin G.Aperghis ( avec lequel il se joint pour de nombreuses créations musicales en Avignon) ...
Improvisateur né, il se nourrit de tous les genres et se promène avec intelligence sur toutes les scènes où la liberté d’improviser est l’expression concrète du désir de musique.
Son expérience professionnelle et sa carrière de soliste international ne le limite en rien; il y puise la possibilité d’une permission illimitée et communicative : improviser, ce n’est ni paraphraser, ni faire n’importe quoi, c’est s’autoriser.
Son soucis constant est de privilégier la création et de générer le bonheur d’aventures avec des musiques hors limites des genres, aux confins de la rigueur et du plaisir.
“ Figure de proue et électron libre du jazz international, J. Di Donato transcende les limites de la technique sèche de la virtuosité pour la virtuosité, en laissant la porte del’imagination ouverte pour qu’entrent les courants d’air frais et free”.
S. Chabard. Le Journal Du Centre..
.“ Une sorte de bonheur très rare, très tendre, le bonheur d’intelligence”.
Francis Marmande. Le Monde |
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Jacques Di Donato, clarinettist, saxophonist, drummer, composer, is one of the most vibrating voices and most interesting of the scenes of the contemporary music and the impromptu musics.
He meets thus L Berio, P. Boulez, J Cage, O Messiaen, and plays with Mr. Solal, B Lubat, L Sclavis, A. Angster, D. Humair, J.F. Jenny Clark. It creates the Jacques Di Donato Quintet, Mhère Quartet, the System Waste land, orchestra of fifteen musicians, and directs the festival "Fruits of Mhère", "the Fields of the Improvisations" around the current impromptu musics, of the cinema, the théatre and the visual arts.
"A free electron Figurehead of the international jazz, J Di Donato transcends the limits of the dry technique of virtuosity for virtuosity, by leaving the door del' open imagination so that enter the draughts fresh and free".
S. Chabard. Le Journal du Centre
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A kind of happiness very rare, very tender, the happiness of intelligence ". Francis Marmande. Le Monde
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| Michel Di Maggio / photographe |
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La photographie pigmentaire
ou Gomme bichromatée
Outre la prise de vue numérique et sa restitution moderne par imprimerie ; ou tout simplement au travers d’un écran, j’utilise un ancien procédé découvert par M. Poitevin vers 1842 et amélioré par M. John Pouncy en 1858 pour représenter entre autre le mouvement.
Le mouvement fait partie du temps, quoi de plus jubilatoire pour un Photographe que de saisir un instant de mouvement et arriver à exprimer un sentiment ressenti. Quoi de plus réjouissant que de Capter l’image photographique et la façonner, une certaine liberté d'interprétation créative. D’y mêler intimement une technique moderne de prise de vue avec le travail de la main semblable au geste du peintre. Donner ainsi toute sa dimension artistique,’une nouvelle « matérialité ».
C’est ce qu’offre le procédé de la photographie pigmentaire ou gomme bichromatée il utilise les propriétés de durcissement par les ultra violets de la gomme arabique mélangée à du bichromate de potassium. Les couleurs sont apportées par des pigments, des ocres ou des terres diverses,
Ce mélange subtil est déposé au pinceau en fines couches sur un support noble : le papier aquarelle. La lumière traverse un négatif plaqué sur ce papier apprêté celui ci, réagit par alchimie. Sensible aux ultra violets de la lumière, Il répond au modelé de l’image négative par un durcissement proportionnel de ses couches. Un trempage dans de l’eau « libère » la photographie. Les excès de gomme et de colorant non durcis se dissolvent. Il ne reste sur le papier que la gomme et le colorant créant l’image avec un rendu incomparable propre aux photographies pigmentaires.
Michel DI MAGGIO
Photographe
michel.dimaggio@free.fr
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| Fanny Gannat /Danseuse |
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Parcours nourri de nombreuses influences notamment avec l'ecole americaine ; technique Graham avec YURIKO , technique Limon avec Betty Jones et Fritz Ludin , assistante en France de RISA STEINBERG de la Cie Limon
Stages avec la Cie Merce CUNNIGHAM et la Cie de TRISHA BROWN
Rencontres importantes de MYRIAM BERNS qui lui a "révélé" la dynamique de l'espace et Christine BASTIN qui l'a emmenée
dans la symbiose des corps , la fragilit é de l'instant et la présence centrée ainsi qu'une incroyable gestuelle charnelle et instinctive ;
Collaborations régulières avec le guitariste compositeur Didier Large et le musicien Jean-Claude Camors ( musicien du Quatuor) m'ont appris la respiration , la qualité dynamique des moments dansés et enrichi mes recherches musicales.
Le travail avec les enfants , les experiences theatrales avec Antonio Cauchois , le theatre du Faune , les interventions à l'école du Paysage , les ateliers chorégraphiques avec comédiens et danseurs densifient mes recherches.
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| Bertrand Lombard /Danseur |
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Danseur interprète depuis le début des années 80, il participe aux propositions de nombreux chorégraphes notamment Josef Nadj, Daniel Larrieu, Michel Kelemenis ou Stéphanie Aubin.
Il décroche en 1986, le 1er prix d'interprétation du Concours international de la Ville de Paris.
A partir de 1987, le dessinateur Patrick Bossatti partage avec lui Mana danse de nada, un échange singulier entre danse et dessin. Suivront Une danse blanche (dessinée et dansée pour Alain Neddam, en écho aux Espaces blancs de Paul Auster) et La dérive des continent, une partition dessinée pour La Ronde, une compagnie d’interprètes, fondée avec Dominique Brunet en 1993.
Les collaborations avec d’autres artistes (chorégraphiques, metteurs en scène, compositeurs) alternent ou s’enchaînent avec Bruno Meyssat, Didier Silhol, Pascal Montrouge, Thierry Lafont, Geneviève Sorin, Françoise Murcia, Victoria Harmandjieva, Kitsou Dubois, Virgilio Sieni...
Parmi les techniques rencontrées, le Body Mind Centering nourrit fortement son travail. Ainsi que les ateliers de composition chorégraphique suivis auprès de Trisha Brown et Susan Buirge.
Il participe aux propositions du collectif théâtral Le Larynx depuis 2001, et chante, depuis 2003, avec Le nom commun, collectif de création sonore a capella.
Ces temps de créations et de recherches sont souvent accompagnés de cours ou d’ateliers qu’il donne au sein même des compagnies, des conservatoires, en milieu scolaire, en milieu psychiatrique ou pour des réseaux associatifs de pratique amateur.
Son activité d’interprète et de chorégraphe se poursuit, notamment auprès de Thierry Baë pour la re-création de Tout ceci (n’)est (pas)vrai ou lors des Aventures extra-chorégraphiques du groupe Bernard Menaut.
Et après What...if... ? (solo/trio) et (re)action, c’est un nouveau solo, Legs, qu’il crée en 2010 aux Hivernales d’Avignon.
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| Gaël Mevel / piano - violoncelle - bandonéon |
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Gaël Mevel, pianiste, compositeur, improvisateur, multi-instrumentiste
(violoncelle, bandonéon), écrivain, est un musicien dont l’oeuvre, riche et singulière, saluée par la presse internationale, relève autant de la composition que de l’improvisation.
Sa grande connaissance et sa pratique du jazz et des musiques improvisées, nourries de son expérience de la musique contemporaine, son goût pour le silence, lui ont permis d’élaborer un univers d'un grande poésie, sensible et ouvert, unique, et qui renouvelle la relation écrit-improvisé.
Il a étudié le piano avec Eric Watson, Geneviève Doyen, Jay Gottlieb,
l'arrangement et la composition avec François Théberge, l'harmonie avec Bernard Maury, le violoncelle avec Philippe Straszewsky .
Diplome d'état d'enseignant option jazz
diplomé de l'école Louis Lumière , cinéma.
• The penguin guide -USA
Belle et presque inclassable, la musique de Mevel est d’une étrangeté captivante et surréaliste
•The Wire - fevrier 2003 -Angleterre: “Gaël Mevel ajoute un chemin unique au langage de la musique improvisée européenne et signe un disque d'une assurance remarquable.” Philip Clark
• Le Nouvel Observateur - novembre 2003 - France:
“ Télépathie, fluidité,
apesanteur, économie du propos, maîtrise méticuleuse des dynamiques :
C’est beau comme un rêve éveillé. Rare.” Bernard Loupias
Jazz Magazine - Déc 97 - France :
“ Les compositions de Gaël Mevel,sont source d’une ardente et lumineuse poésie.” Philippe Méziat
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Both a pianist and a composer, his intellectual curiosity has lead him to develop a language at the borders of improvisation, contemporary music and jazz.
As a composer, he creates an original, sensitive universe. As an improviser, he delivers an austere though sensual language, a silence born language.
He studied piano with Eric Watson, Jay Gottlieb , Geneviève Doyen, arrangement aned composition wtih François Théberge, harmony with Bernard maury, cello with Philippe Strasewsky.
He also studied at the cinema school "louis Lumière" .
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| Marie Motais /Danseuse |
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Son chemin se jalonne de rencontres décisives : Dominique Dupuy, Raphaël Djaïm, Hervé Diasnas, A. Boal, Carlotta Ikeda et Kajo Tsuboï, Patricia Kuypers, Luc Quistrebert, Simone Forti, Gabrielle Roth, auprès desquels elle se construit comme « artiste-chercheur ». Sa rencontre avec Anna Halprin, une des pionnières américaines de la danse performative, confirme cet engagement d’artiste « buissonnier», choix artistique fort au cœur de la danse contemporaine actuelle.
Sa danse, en relation profonde avec la nature et la terre, se nourrit d’une épuration des gestes et des formes pour aller à l’essence même de l’humain, là où l’empreinte du sensible danse. Organique et plus expérimentale, mais volontairement inscrite dans l’espace social contemporain, elle prend forme au cours de danses performatives.
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Dominique Poggi / musicienne |
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Valérie Prazeres / peintre |
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Le plaisir…
de peindre
l’énergie du geste
Valérie
laisse une trace
laisse couler la couleur tombée du ciel
tous ces pots de peinture ouverts,
avec des pinceaux dedans, à portée de main,
la couleur musique vibre dans l’air
et le son est là, aussi, comme élément
et les amis
et tous sont là, comme autour d’un feu
ce feu qui brûle ce qu’il touche
qui illumine les visages de sa clarté fugace
ce feu qui produit les plus belles choses
sans le savoir
attisé par le vent
ce vent qui grise et donne des idée de machine volante
mais alors une machine où on peut monter dedans à plusieurs,
et où tout le monde se met au charbon, et ressort tâché de couleur aux mains
et ceux qui disent, « je n’ai jamais su peindre » se souviennent qu’ils ont su,
avant
et ils sont heureux
AO VIVO
c’est pour la vie qui circule là-dedans, entre tous
dans le cirque de toile de Valérie
elle vous emmène dans votre monde !
Et sa peinture… elle est comment ? On a envie de voir… maintenant
alors écoutez… écoutez ces pigment suaves,
suivez ces lignes qui tracent la route dans les blés
entrez dans son monde, son monde de senteurs
la joie
RP 22 janvier 2009
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| Rui Prazeres / peintre |
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"Je dirais alors que ma peinture vient de la terre. Une peinture produite dans le magma originel organique. Une naissance à partir des éléments bruts, qui nourrit la possibilité d'un univers nouveau et fragile, mais aussi fertile. Comme le dit Malraux dans ses Antimémoires, "le monde de l'art n'est pas celui de l'immortalité, c'est celui de la métamorphose". Cette métamorphose est ce que j'essaye de peindre."
Ceci tente d’éclairer le chemin du peintre, sans pour autant expliquer ou justifier quoi que ce soit. Le cheminement n’est pas le résultat d’une volonté de construction d’une “oeuvre”, mais beaucoup plus le travail d’un inconscient révélé par la peinture."
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| Perrine Rabouin /peintre |
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Le dessin est une récompense au silence : Mon regard s'est promené, cherchant le mouvement, explorant l'espace, et le sujet pour recueillir les impressions qui résonnent à la conscience muette... J' écoute cette multitude de dessins qui ne sont pas encore nés, mais qui vibrent dans la zone sensible, juste au delà du réel et je les laisse éclore, multicolores et joyeux !
L'attention silencieuse permet au regard amoureux, de naviguer librement entre la forme et son expression et le croquis porte ces émotions avec fraîcheur : je vous invite à suivre le chemin entamé par mon regard.
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| Kyoko Sato /Danseuse |
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Danseuse, Chorégraphe, maître en Kiryuho
Née en 1960 à Kanagawa au Japon, elle commence les études de Kiryuho avec le fondateur, Kajo Tsuboi en 1979.
Aujourd’hui elle pratique depuis plus de 30 années cet art du mouvement, elle enseigne à travers le Japon, particulièrement à l’université de femme Sagami, pour la faculté de psychologie à et voyage régulièrement France, Allemagne, Belgique et Australie pour enseigner cet art.
Performances principales sont ;
1987 Theatre d'Aliance (Paris France)
1989 Hinoemata Festival '89 (Fukushima Japan)
Jeu dea Critures Theatre Festival (Poitier France)
1990 Une Promnade Singuliere (Paris, Colmar, Mulhouse, Thionville France) -receiving Fellowship from the Japan Foundation and AFFA in France
1992 Autres Pas (Aix-en Provence France)
1995 Uzutama (Paris France)
1999 Weereewa Festival (Canberra Australia)
2001 My private sky - Exhibition of Richard Buckminster Fuller (Kanagawa Modern Art Museum Japan)
2002 Silk- receiving Fellowship from the Japan Foundation (Canberra Australia)
2003 Red Earth (Canberra Australia)
2003 Festival Sanesashi (Kanagawa Japan)
2003 Silk Sun (Canberra Australia)
2005 Desert Silk (Adelaide Australia)
2008 International Conference for Dance (Brisbane Australia) |
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| Thierry Waziniak /Percussioniste |
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La finesse, l’intelligence de son travail, son goût pour toutes les expériences musicales et pour la recherche, lui ont permis d’élaborer un discours original où se mêlent puissance,silence, lyrisme et inventivité.
Thierry Waziniak joue avec Steve Potts, Bobby Few, dans le Gaël Mevel trio, et forme un trio avec Philippe Deschepper et Mederic Colignon.
Il est créateur du projet “Vues de ton manège” où se croisent autour des mots et du temps les musiques les plus libres.
“ Thierry Waziniak aux percussions, à la fois discret et vigilant, est à l’affût de la moindre occurence sonore et rythmique : lui aussi travaille sa pâte.
I l multiplie les baguettes, menuise le son, en vient aux mains et fait finalement merveille”.
Gaëtan Le Guern. Ouest France.
“ On retiendra le toucher de Thierry Waziniak, poussant le dépouillement jusqu’à tâter les peaux à même la paume”.
Jean-Luc Germain. Le Télégramme.
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The smoothness, the intelligence of his work, his taste for all the musical experiments and research, enabled him to work out an original speech where power, silence, lyricism and inventiveness mix.
Thierry Waziniak plays with Steve Potts, Bobby Few, in Gaël Mevel trio, and forms a trio with Philippe Deschepper and Mederic Colignon.
He is the creator of the project "Seen from your horse-gear" where cross around the words and of time the freest musics.
"Thierry Waziniak with the percussions, at the same time discrete and vigilant, is with the mounting of the least sound and rhythmic event: he also works his paste.
He
multiplies the rods, cuts down the sound, comes to the hands and makes finally wonder ".
Gaëtan Guern. Ouest France.
"One will retain the touch of Thierry Waziniak, pushing the examination until touching the skins with same the palm". German Jean-Luc. Le Telegramme. |
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